Visiter le site : Souvenirs littéraires de Raymond Delley (Suisse)
Ce blog littéraire est un jardin de littérature ou chacun est invité à se balader, à cueillir les fruits de la réflexion, à s’abandonner au souffle poétique qui inspire chaque article: ici la magie des mots opère, métamorphosant l’ordinaire en enchantement. Les mots s’entrelacent avec grâce pour exprimer au gré de diverses références des pensées sensibles, entre littérature et vie de tous les jours. Bien plus qu’une classique biographie, ce blog littéraire nous conduit avec l’écrivain R.Delley sur les plus beaux chemins de la littérature du monde francophone et d’ailleurs, à travers des notes et de brèves anecdotes qui nous font comprendre à quel point la lecture ou l’écriture aident à vivre, nous guérissent et nous permettent de nous évader de la vie quotidienne: une équipée qui célèbre les mots qui nous questionnent, et nous incite à l’enchantement et à la réflexion. Le blog littéraire de Raymond Delley dévoile le travail de cet écrivain francophone et les ouvrages qui l’ont marqué tout au long de sa vie: au fil du temps il se remémore des anecdotes, des moments passés et des livres qui ont façonné son approche de la vie. Entre pépites littéraires d’autrefois et réflexions sur notre vie, il nous guide vers de belles régions où l’art d’écrire et de lire rend plus belle notre existence. Ce blog littéraire est consacré aux livres qui ont influencé R.Delley, écrivain suisse francophone: il nous y parle des ouvrages qui ont été pour lui des points de repère, ceux qui lui ont ouvert de nouvelles perspectives, ceux qui ont été de vrais coups de foudre, ceux qu’il a lus et relus plusieurs fois au fil des années, et ceux aussi, plus rares, qui l’ont déçu ou qui à ses yeux ont mal vieilli. Dans les carnets de ce blog littéraire, Raymond Delley nous confie les pensées que lui inspirent des lectures, des souvenirs ou les hasards de la vie: ce sont de brefs récits écrits en tous lieux, dont certains remontent à son adolescence. Cet écrivain suisse romand évoque aussi ses propres livres et ceux de ses contemporains, dont il apprécie le travail parce qu’il nourrit l’amour de la littérature dans une époque trop matérialiste.